Voici le sujet RP du forum, en tant que MJ je vous demande quel est votre personnage (sachant que l'univers est un univers de fantasy dans le Bas Moyen Age)
Carte du Royaume de Vilarie: https://imgur.com/azCfQKG
Carte des factions (page 1-...):
https://imgur.com/UfXNhee
Le roi vous a chargé de résoudre deux problèmes: l'invasion orque au sud et la révolte au nord.
Le Chasseur (mewfour) est au front face au Sorcier et se fait battre par ce dernier qui se moque de lui et le ridiculise, le Chasseur renverse néanmoins la situation et fini par tuer le Sorcier qui lui donne un étrange livre. Au cours de sa lecture, le Chasseur apprend que le Sorcier qu'il a tué n'est autre que lui même (plus vieux) qui vient de remonter le temps.
L'ingénieur (ou Xortias d'Ylliam) (Clyde) après avoir utilisé ses armes de jet contre les orcs pour les ralentir et les empêcher de passer est tombé de l'arbre sur lequel il était. Il essaie maintenant de contourner les orcs. Il rencontre le Chasseur qui, au cours d'une altercation manque de le tuer. Heureusement, Xortias est sauvé par un soldat anonyme et reprend sa mission d'espionnage.
Le chasseur et Xortias, malgré leurs différents, s'unissent pour attaquer un camp orc, ils sont rejoints par un mystérieux chercheur (aquilacaesare). Ces trois personnages ont détruit ce camp orc et sont maintenant au Fort du Roc-du-Lac parmi les défenseurs. Ils se racontent ce qui les a mené là.
Les orcs assiègent le Roc du Lac. Le chercheur a réussi à quitter le Fort pour tenter un plan secret qu'il a manigancé. Le chasseur et l'Ingénieur sont toujours dans çe château.
Le vieux, ou l'homme (kjeg) est dans son coin et s'isole pour mener à bien son but mystérieux. Aladjëa (Sesra) le suit grâce à Nerra, sa panthère. Les deux se rencontrent dans le domicile qu'il vient de construire et font connaissance. Le vieux décide de lui apprendre la magie et lui parle d'une légende à propos de l'oiseau qui l'accompagne. Les cours de magie ont commencé. Des mages rendent visite à Kjeg et lui posent des questions sur son frère avec qui il a perdu contact depuis un tragique évènement ayant eu lieu il y a longtemps. Le vieux fait une crise de folie mais est finalement ramené à la raison par Aladjëa.
Mitrhidaji (Basdk) arrive, au sein de son bataillon de Nains vers le front au niveau du Roc du Lac, il rencontre un armée elfe et un mystérieux messager. Celui-ci l'informe que des armées naines ont été vaincues. Et enfin Rujvr (raphdel49) fait des trucs de mercenaire et rejoint le chasseur, l'ingénieur et le chercheur au Roc-du-Lac.
Plâ Khân (Stormtrooper) essaie d'aider les assiégés. Il tue un ancien ami qui a rejoint les orcs et réussi à entrer dans la citadelle du Roc du Lac.
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Parchemin des mages concernant la magie: https://imgur.com/NDlccya .
Résumé (jusqu'à la page 60):.
Personnages n'étant pas intervenus: Gaster (Somebody) et Throrqik (Raph45)Tu as devant toi les pensées d’un homme tué par le désespoir. Je pense qu’il commence à sombrer dans la folie...
Ha, tout s'explique... (ouf je n'ai pas à réécrire un personnage...)
Nerra dresse l’oreille. J’ecoute Avec attention et discerne dans m’en message du vent, mon prénom. C’est lui qui m’appelle ! Je suis de retour !
Depuis que je me suis remise en route, j’ai reçu un autre message sur la pierre et j’ai compris qu’Ëljira me demandait de le retrouver au plus vite.
J’arrive enfin vers la clairière. Fatiguée par cette longue course entre les arbres, je fais les derniers mètres en marchant à côté de ma fidèle compagne. Je reste un peu en retrait dans le couvert des arbres et attends que l’homme me tourne le dos pour avancer discrètement jusqu’au milieu de la clairière. Quand je suis assise en tailleurs, je siffle comme un rossignol.
Clyde, Aqui, Mewfour et, peut-être, Raph, j'attends vos réactions face à l'attaque du fort.
J’atends toujours. Je regarde encore les arbres de la forêt qui l’a avalé. Je regarde là où je l´ai vu la dernière fois, quand je lui ai demandé de fuire. « ALADJËA ! » Je l’appelle encore une fois. J’entends Un rossignol chanter. « Aladjëa ! » Je n’ai presque plus de voix. Dans mon désespoir, j’entends la mélodie qu’elle jouait régulièrement. « Aladjëa ! » Je ne m’entends même plus l’appeler. Elle n’est pas revenue. Pour la protéger, je l’ai tuée. Comme ma femme, comme ma fille. Je les ai tuées toutes les trois. J’entends encore la même mélodie. Comme un chant d’adieux. C’est fini. Jamais je ne la reverrai. Je vais partir. Je ne parlerai plus à personne. Je n’aiderai plus personne. Je n’aimerais jamais plus. Alors je ne tuerais peut-être plus. Je vais emporter ce rossignol pour me rappeler celles qui m’étaient chères. Je l’ai tuée. Je me retourne. Dans ma folie je la revoie, à la place du rossignol. Elle est là ! Enfin !
Non, ça ne peut pas être elle. Je l’ai tuée. Je dois quitter ce lieu au plus vite, avant que je ne devienne fou. Je pousse un dernier cris de désespoir « Aladjëa ! ». Et je m’enfuie, loin de ce lieu qui me rends fou. Loin du monde cruel. Loin de tout. En passant les arbres, là ou je l’ai vue pour la dernière fois, tout deviens noir, et puis plus rien. Rien que cette mélodie qui vient me torturer, encore et encore.
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Pour ceux qui ne le savent pas encore, je suis déjà dans ma folie. Aladjëa devra faire preuve d’une mémoire exceptionnelle si elle veux espérer me guérir. Elle vient de me lancer un sort qui m’a rendu inconscient. Saura-t-elle réussir ?De mon côté, j'entends tout ces cris grâce à mon oreille surdéveloppée d'elfe.
Je souffle à Blacky qu'il nous faut nous hâter vers le village de Borna.
Dans la soirée, j'arrive près du village. Là-bas, ils me connaissent sous le nom du "Lungri au chat noir"...
Si tu penses être devant moi c'est raté, Raph !
Tu es dans la ville et moi je suis à l'extérieur ! Et d'ailleurs, je ne possède pas de lézard, Blacky, c'est mon chat et il est sur mon épaule !
Hier, je me suis dit que je me trouvais bien, sur le toît, alors j'ai décidé de changer de place mon matériel, et de le mettre sur le toit. Mais... ça n'a pas tenu, et j'aurais été très visible. Une cible facile. J'ai donc décidé de m'installer dans la même tour, au dernier étage. Je n'ai par contre qu'un champ de vue réduit : le seigneur occupant ce château ne m'a pas autorisé à enlever la pointe du toit pour placer dans le trou mon tuyau prolonge-oeil. D'ailleurs je ne peux pas faire de tirs en cloche car le linteau de l'ouverture m'en empêche, heureusement qu'ils ont fait des meurtrières plutôt larges et hautes, sinon je n'aurais jamais pu tirer de moyens projectiles. J'ai été le premier alerté quand les orcs ont lancé l'offensive. J'étais revenu sur le toît, il était près de midi, et je n'avais rien à faire avant de manger. Je me suis rendu compte d'ailleurs que mes vivres étaient justes, et j'acceptais de manger ce qu'on nous donnait. Les salops étaient en fait prêts, ils avaient été prévenus, et se sont déplacés de nuit, pour ne pas qu'on voie l'ampleur de leur armée. En plus ils ont décidé d'attaquer alors qu'on a encore le ventre vide. Comment j'ai pu ne pas voir tout leur arsenal ? Je préviens rapidement un soldat dans la tour pour qu'il prévienne tout le château. Je n'ai pas envie de louper leur massacre dans mon piège. Certains passent par dessus mais la plupart passent par le col. Ils sont au moins 1000. Mon piège a fonctionné, ils ne l'ont pas vu : les orcs sont pqssés avant les artilleries, ils étaient entassés par centaines dans le col. Leur chef, à cheval, a cassé le fil qui était de notre côté du col. Il n'a même pas remarqué qu'il avait cassé quelque chose, et est parti devant, avec une centaine d'orcs. Le fil ne retenait plus les récipients remplis d'huile et d'explosifs. Ils ont glissé sur mes fils, comme prévu, au-dessus du col. Une fois inclinés légèrement vers le sol, les orcs n'ont pas eu le temps de réagir : toute l'huile est tombée, et surtout les explosifs. Ils ont fait exploser les explosifs ardents et empoisonnés enterrés dans le sol, et le feu a pris. Nombre d'orcs ont été endormis voire asphyxiés par le poison, d'autres par les flammes, des têtes ont sauté, mais surtout des jambes, ils ont brûlé, et ont fini par alimenter mieux l'incendie que l'huile, telles de grosses bûches. Ils n'ont pas pu fuir à cause du poison, mais surtout des chevaux, qui étaient affolés, ont jeté leurs cavaliers, piétiné d'autres, attaqué, et se sont enfuis dans tous les sens. Sur les 400 qui étaient sur le col à ce moment là, une trentaine a survécu. Il restait maintenant. 100 devant qui allaient attaquer, 400 qui étaient passés par les collines, et 100 qui devaient remonter car ils ne pouvaient plus passer par le col. Mon piège n'aurait pas pu mieux marcher.
Bravo Clyde, encore une fois !
Les armées orques qui ont commencé l'encerclement du fort se déploient tout en restant hors de portée des tirs ennemis. Certains orcs mettent en place des camps, d'autres construisent des palissades de pieux entre et autour de ces camps tandis que certains creusent des tranchées des deux côtés des palissades pour se prémunir d'éventuelles sorties ou de renfort tentant de briser le siège. La construction de ces fortifications prendra plusieurs jours si le rythme ne s'accélère pas. De son côté la flotte change de tactique. Elle se met en position afin d'accueillir comme il se doit d'éventuelles flottes qui, remontant la rivière, tenteraient de soutenir les défenseurs. Elle n'abandonne toujours pas le bombardement du Roc, se limitant toutefois à essayer de viser l'artillerie des défenseurs. Les bois présents au sud du Duyjoir brûlent. Les orcs devront attendre des renforts pour se redoter d'une artillerie digne de ce nom.
Si vous voulez faire partie de la sortie, vous pouvez
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Les défenseurs voyant le péril dans lequel des fortifications au nord-ouest du fort (entre la rivière du Lac et le Duyjoir) les menait, en effet il leur serait alors impossible de recevoir du ravitaillement toutes les autres voies étant coupées, décidèrent de tenter une sortie avec des bataillons de cavalerie légère qui se jetteraient sur les points les moins construits des murs des assiégeants afin de pénétrer à l'intérieur et d'y mettre me feu.