Ce forum servira à construire des histoires en commun. Cela fera penser à un jeu de rôle, à la différence qu'il n'y a ni maître du jeu ni statistiques préétablies. Dès le commencement, le plus rapide à poster son message à la fin de l'histoire précédente définira le cadre de l'histoire. Le personnage doit se définir lors de ses deux-trois premiers messages: premier arrivée lors d'un événement, ou dès le début de l'histoire, puis second présentation plus ou moins longue du personnage, qui peut garder des zones d'ombres. On peut donner le nom que l'on souhaite à son personnage, mais il est recommandé de lui donner son pseudo pour éviter les confusions. Il est interdit de créer un changement total ou la mort d'un ou plusieurs personnages joueurs en un seul message (non aux deus-ex-machina). Les personnages capables de tout changer d'un coup, et qui correspondent au statut de Dieu sont à éviter.
Sur la forme du message: ce que vous dites est écrit normalement, mais toute description d'un décor ou de l'action doit être mise en italiques ainsi. Rappel: balises [i] et [/i] pour l'italique.
Pour le reste, il n'existe d'autres limites que celles de votre imagination.
Règles rajoutées par Clyde avec lesquelles je suis en accord:
bien distinguer les remarques des paroles rapportées. Les paroles rapportées au discours durect devront toujours être précédées d'un tiret ou de guillemets, qui se fermeront à la fin du discours. Les remarques extérieures à l'histoire devront donc être mises entre crochets, ou d'une couleur différente, ou en gras. Il n'est pas nécessaire de les supprimer.
- On pourra en italique décrire les actions des personnages autres que le nôtre, mais parler à la première personne pour un personnage sera toujours réservé à celui qui incarne ce personnage, et seules les paroles au discours direct d'un personnage (pas en italique) seront réservées exclusivement à la personne qui l'incarne. On pourra parler des paroles des autres au discours indirect.
- Interdit d'incarner deux personnages à la fois, tous deux en capacité d'interagir avec l'histoire .(j'allais dire deux personnages vivants, mais je voyais venir mewfour qui fait mourir son personnage, et qui continue d'incarner le fantôme de son personnage en même temps qu'un nouveau personnage)
Scene 2
« Mon fils ! Il a fait ses choix !
Il a pris une autre voie.
A quoi bon son retour espérer ?
Pourquoi par l'amour suis-je aveuglé ? »
scène 2
- Alors pourquoi m'avez-vous dit qu'il était là ? Que vous l'aviez vu dans ces bois ? Vous avez changé, celui dont on ne peut pas prononcer le nom...
scene 2
« Non loin de la il est
Mais jadis déjà il renonçait»
Pour ceux qui ont du mal à me comprendre (c'est fait exprès 😉) : mon fils est là bas, dans la forêt. Il ne voudra pas nous aider car il ne cherche qu'à détruire ceux qui l'entourent. "L'autre voie" c'est une voie spirituelle, marquée par "ses choix". Mais je l'aime toujours d'un amour paternel.
scène 2 - Ne nous occupons pas de lui. Si vous n'êtes pas trop rouillé, pouvez-vous m'aider à chercher mes amis ? Kjege😆es accepta, en me faisant remarquer qu'il se faisait très vieux -- ce que je savais déjà -- et qu'il n'utiliserait que la lumière, les sons et les odeurs. Dans l'étroite clairière où nous nous trouvions, je me levais avec peine. L'ancien avait utilisé la lumière pour me désigner trois amis, qui étaient en fait visibles depuis le début. Ils étaient endormis profondément, sans avoir l'air malades. Par les sons, il m'a désigné une direction, et j'y suis allé : Katnyss se réveillait et toussait, sous l'ombre d'un arbre bordant la clairière. Par l'odeur, il m'a désigné une autre clairière, où j'en ai retrouvé quatre, en moins bon état que les autres : ils s'étaient pris plusieurs shots de Vodka, et des dizaines de bières étaient entassées sur le sol. Sol qui, sur un tiers de la clairière, était couvert de vomi et de déjections. L'odeur venait principalement de ça et de l'alcool. Il me restait 7 personnes à trouver, et je n'avais toujours pas trouvé mewfour. -Pourvu qu'il ne lui soit rien arrivé !
scrne 2
« Quand on a la volonté
On peux tout soigner
Sauf si le malade ne veux mieux aller. »
scène 2 - Mais personne n'est malade il me semble..
Scene 2
en moins bon état que les autres
« n'est-ce point maladie
Que ce que tu me dis ?»
Scene 1 :
Mewfour répondait confusément aux questions du Maître. Me penchant près de ce dernier, parlant à voix basse en Code (il s'agit d'une langue secrète que seuls quelques personnes connaissent dont le Maître et moi) afin que Mexfour ne comprenne pas :
- Maître, il cherche à vous confondre, je le vois, il est troublé, confus et veut tirer parti de la conversation. Avec votre permission, je l'emmène dans sa nouvelle chambre.
Le Maître m'approuvait. Je m'approche donc de Mewfour :
- Le Maître te penses inapte à répondre correctement, je t'emmène te reposer.
c'est bien qu'on le dise confus, parce que comme ça, ça explique le fait que le souvenir de mewfour de sa balade dans les bois ne soit pas exactement la réalité, qui est dans la scène 2.
scène 2 : - Tu es très perspicace... Quand je parlais de maladie, je parlais de pathologie liée à un organisme parasite s'étant infiltrée dans le corps, mais ta définition est la bonne. La gueule de bois part toujours avec le temps, mais certains auraient pu faire un coma éthylique, se blesser, ou s'infecter. On peut toujours leur donner de l'eau, pour adoucir la gueule de bois, quand ils seront réveillés. Je m'amusais des nombreux mots qui venaient à mon esprit. J'ai essayé alors de former la phrase la plus courte possible dans ma tête, réunissant ces mots : " Se réveillant avec la gueule de bois dans un bois, il boit un peu d'eau puis voit un boa et lui jette un bout de bois ". Mon sourire niais et mon regard dans le vide intriguaient l'ancien. Il me demanda alors si j'allais bien, et sans rien dire d'autre, je lui récitais ma phrase. Il prit un air amusé, il prie un nerf à musée. Je lui récitait ce jeu de mot également, et là, il me demanda si mon foie ne fabriquait pas de l'alcool.
Scene 2
Je m'assois et reste immobile, comme à mon habitude, a méditer sur le Monde et sur les âneries de mon si jeune compagnon.